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Titre 3.2
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Seance 2024
Paragraphe1
Mon resumé
En France comme ailleurs dans le monde, un effondrement de la biodiversité est constaté dans les espaces ruraux. Il concerne notamment les insectes, les amphibiens et les oiseaux, alors même que des populations de certaines espèces,
du fait de leur croissance démographique ou de changements dans leur aire de distribution géographique, peuvent poser des problèmes complexes à résoudre. Par ailleurs, plus de 8 personnes sur 10 résident actuellement dans une commune urbaine selon l’INSEE. Dans le contexte du réchauffement climatique, l’aménagement d’espaces végétalisés et biodiversifiés dans les villes engage à de nouveaux rapports entre les habitants et une faune sauvage urbanisée.
Paragraphe2
Cette évolution globale s’accompagne d’une évolution des mentalités concernant le bien-être animal, induisant des clivages de plus en plus importants
entre différentes catégories sociales, voire des contradictions intimes parmi nos concitoyens. Ces clivages se cristallisent, par exemple, autour de jugements sur la « nuisibilité » ou « l’utilité » de certaines espèces arbitrairement essentialisées de ce point de vue, sans que la complexité du socio-écosystème dont elles font partie soit toujours prise en compte de façon objective.
Midi : repas
Paragraphe3
Les formations spécialisées des commissions départementales de la chasse et de la faune sauvage sont engagées à aider les préfets à statuer sur le classement d’espèces jugées susceptibles d’occasionner des dégâts (ESOD) sous critères « d'intérêt de la santé et de la sécurité publiques, ou pour assurer la protection de la flore et de la faune, ou pour prévenir des dommages importants aux activités agricoles, forestières et aquacoles, ou pour prévenir les dommages importants à d'autres formes de propriété » (Article R427-6 du Code de l’Environnement). Des débats récurrents, souvent conflictuels, et des choix finaux qui se